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Georges Paul François Laurent Laugée

Peinture : Soleil couchant

Soleil couchant
Soleil couchant

Georges Paul François Laurent Laugée
Soleil couchant

Format : 51,43 x 66,67 cm
Technique : Huile
Support : Toile
Sujet : Variation autour du thème du tableau Le Glaneuses
Localisation : Collection-Particuliere
Date : 1886 - Lieu : Salon-de-Saint-Quentin

Soleil couchant  par Georges Paul François Laurent Laugée

Soleil couchant Georges Laugee peintre poete peintres et sculpteurs

Soleil couchant : Peinture de Georges Paul Laugée. Huile sur toile. 51,43 X 66,67 Cm. Présentée au Salon de Saint-Quentin de 1886. Collection privée. Commentaire de Louis Albin lors du Salon de Saint-Quentin de 1886 extrait du « Glaneur » du 17 mai 1886 : « Soleil couchant est plus agréable à l’œil que Pauvre Antoine. Il nous plait beaucoup, beaucoup. La toile est toute illuminée. Quelle superbe lumière ! L’atmosphère est chaude ; là-bas, à l’horizon, le soleil rouge va disparaître et les glaneuses, la récolte faite, rentrent au village chargées de leur fardeau. L’une d’elles, une jeune femme – vous les connaissez bien les jolies paysannes des Laugée, au teint doré, aux yeux profonds – s’est assise un moment sur sa botte de gerbes blondes et doucement elle sourit à la belle nature qui l’environne. Il y a là-dedans une magie de couleur véritablement surprenante. « Soleil couchant » est un succès.
Cette toile a été immédiatement achetée.
Nous comprenons ça. »

Ce tableau fut présenté l’année suivante en 1887 à l’exposition du Havre et commentée comme suit dans « L’almanach illustré du Courrier du Havre » : « Au premier plan, une glaneuse, une belle fille, est assise ; à côté d’elle, est la gerbe des épis cueillis un à un. D’autres glaneuses rentrent chez elles, par le chemin qui traverse la plaine. L’une d’elles déjà courbée par l’âge, et dont la récolte est bien maigre, s’appuie péniblement sur son bâton ; à l’horizon, le soleil couchant ne présente plus au-dessus de la ligne extrême des terres qu’une partie de son disque rouge entouré de nuages violets ; on sent que le travail est fini, et que le repos va commencer ; la toile donne une impression de calme et comme de silence ; et il règne sur l’ensemble de la composition, comme un reflet de poésie. C’est là un fort joli tableau, heureux de dessin, heureux de couleur et qui produit bien un sentiment de charme. Montivilliers peut-être fier de M. G. Laugée. »
Ce tableau a été présenté une nouvelle fois Hors Concours au Salon des Artistes Français au Grand Palais en 1923.

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Georges Laugée

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